@article{oai:teapot.lib.ocha.ac.jp:00039476, author = {安見, 貴子 and YASUMI, Takako}, journal = {人間文化創成科学論叢}, month = {Mar}, note = {application/pdf, 紀要論文, Dans une lettre à Louis Séchan, Valéry dit, à propos de 《L’Âme et la Danse》, que ses ressources\\r\\\ essentielles auraient été quelques souvenirs de ballets. Avant d’écrire ce dialogue, Valéry aurait vu, d'une part, la jeune Loïe Fuller en 1892, d’autre part, les Ballets Russes en 1910, 1912 et 1913. Il se peut que Fuller lui ait inspiré la danse d’Athikté qu’il compare à une flamme. Les oeuvres de Fuller représentaient les phénomènes naturels, mais elles manquaient de narrativité. Concernant les Ballets Russes, il existe une simiralité entre le dialogue et Le Sacre du Printemps chorégraphié par Nijinski : l’évocation des rites anciens, l’annonciation du modernisme, le mouvement accentuant la pesanteur et s’harmonisant au rythme complexe de la musique. Cette danse, qui dans la conception valéryenne est centrée sur les rapports entre le mouvement et la musique, peut être qualifiée de 《danse pure》. On peut ainsi dire que Valéry est un précurseur de Balanchine. En conclusion, historiquement parlant, quelques souvenirs des Ballets Russes auraient permis à Valéry de considérer la danse comme dynamique. C’est ce en quoi\ la conception de la danse de Valéry diffère de celle de Mallarmé.}, pages = {63--71}, title = {ヴァレリー「魂と舞踊」 : バレエの記憶を辿って}, volume = {12}, year = {2010} }